EXERCICE >> 7. Lisez « Les calmants ».

LES CALMANTS

Les médecins et d’autres personnes prescrivent des calmants tels que l’aspirine, les tranquillisants, les hypnotiques et les soporifiques (drogues qui induisent le sommeil) dans un désir compréhensible de soulager la douleur. 

Cependant, on n’a jamais su exactement, en chimie et en médecine, comment et pourquoi ces produits fonctionnaient. Ces composés proviennent de découvertes accidentelles comme quoi « ceci et cela diminue la douleur ». 

Les composés existants n’ont pas de résultats uniformes et produisent souvent des effets secondaires très négatifs. 

Comme la raison pour laquelle ils ont produit des résultats était inconnue, la biochimie – la chimie des processus et substances de la vie – a fait très peu de progrès. Si cette raison était connue et acceptée, des chimistes pourraient développer de véritables calmants ne produisant que des effets secondaires limités. 

Les douleurs ou les inconforts de nature psychosomatique sont causés par des images mentales créées par le thétan qui pressent contre le corps et l’affectent. Une image mentale d’un incident du passé dans lequel un bras a été cassé, par exemple, peut être réactivée dans le temps présent et affecter le corps en produisant une douleur à ce même bras. 

Des tests cliniques réels ont montré que les actions de l’aspirine et des autres calmants consistent à : 

A. Inhiber l’aptitude du thétan à créer des images mentales 

et aussi 

B. Faire obstacle à la conductivité électrique des canaux nerveux. 

Il en résulte que le thétan devient stupide, a des périodes de vide, est distrait, irresponsable et imagine des choses. Il entre dans une sorte d’état où il est « insensible », sans sentiments, sans sensations, incapable et vraiment pas digne de confiance, en réalité une menace pour les autres. 

Lorsque l’effet des drogues se dissipe ou commence à disparaître, l’aptitude à créer des images mentales commence à revenir et fait que les somatiques (sensations du corps, maladies, douleurs ou inconforts) se manifestent beaucoup plus violemment. L’une des réponses de la personne est alors de prendre plus de drogues. Sans parler de l’héroïne, il existe des drogués à l’aspirine. Cette compulsion vient d’un désir d’être de nouveau débarrassé des somatiques et des sensations non désirées. L’être devient de plus en plus insensible ; il en a besoin en quantités de plus en plus élevées et la prend de plus en plus fréquemment.

Les médicaments antidouleur inhibent l’aptitude du thétan à créer des images mentales.

Ils font aussi obstacle à la conductivité électrique des canaux nerveux.

Habituellement, sur le plan sexuel, une personne sous l’effet de drogues sera tout d’abord très stimulée. Mais le premier élan passé, il lui sera de plus en plus difficile d’obtenir la stimulation des sensations sexuelles. Son effort pour obtenir une telle stimulation devient alors obsessif, tandis qu’elle apporte de moins en moins de satisfaction. 

Le cycle de la restimulation des images (ou de la création en général) par les drogues peut avoir d’abord pour effet d’augmenter la création, puis de l’inhiber totalement. 

Si l’on travaillait à soulager la douleur à l’aide de produits biochimiques, le produit antidouleur le moins nuisible serait celui qui empêcherait la création d’images mentales avec une « insensibilité » ou une stupidité résultante minimale, et qui serait soluble dans le corps afin de pouvoir rapidement être évacué des nerfs et du système. 

Les drogues bloquent des sensations non désirées, mais il existe également de nombreuses sensations désirables et les drogues bloquent toutes les sensations. 

La seule défense en faveur des drogues est qu’elles amènent un oubli bref et immédiat en cas de douleur extrême et subite, et permettent ainsi de s’occuper d’une personne pour la « rafistoler ». Mais même ceci ne s’applique qu’aux personnes qui n’ont pas d’autres moyens de soulager leur douleur. 

La dextérité, la compétence et la vivacité sont les principales aptitudes qui permettront de ne pas se placer dans des situations douloureuses. Toutes ces aptitudes s’évanouissent avec les drogues. Les drogues peuvent ainsi mettre une personne dans des situations réellement désastreuses, et l’y maintenir. 

On a le choix entre la mort avec les drogues et la vie sans les drogues. Les drogues soustraient de la vie les sensations et les joies qui constituent de toute façon les seules raisons de vivre. 

la personne elle-même, pas son corps, ni son nom, ni l’univers physique, ni son mental, ni quoi que ce soit d’autre, ce qui est conscient d’être conscient, l’identité qui est l’individu. Le terme thétan a été inventé pour éliminer tout risque de confusion avec des concepts plus anciens et inadéquats. Il vient de la lettre grecque thêta qui, pour les Grecs, symbolisait la pensée ou peut-être l’esprit, à laquelle on a ajouté un n pour en faire un substantif, comme cela se pratique en ingénierie moderne pour créer des mots.